Votre participation - Étude sur la santé des jeunes ontariens

En acceptant de répondre à l’ESMÉ 2014, les participants ont contribué à changer la vie des enfants et des jeunes Ontariens. Les résultats de l’ESMÉ serviront à créer des programmes et services qui amélioreront la santé mentale des enfants et des jeunes de toute la province.

Qui a participé?
Les écoles des quartiers participant à l’Enquête sur la santé des jeunes Ontariens (ESJO) 2014 étaient susceptibles d’être sélectionnées pour l’ESMÉ 2014.

Pour en savoir plus

Statistique Canada a invité 10 530 enfants et jeunes âgés de 4 à 17 ans, ainsi que leurs familles, de 240 quartiers ontariens, à participer à l’ESJO 2014. Les écoles invitées à participer à l’ESMÉ étaient situées dans les mêmes quartiers que ces enfants/jeunes et leurs familles. Au total, 248 écoles, plus de 3 300 enseignants et plus de 31 000 élèves ont participé!

Que devaient faire les écoles participantes?

Les écoles ont été invitées à participer à l’ESMÉ 2014 : celles qui ont accepté ont reçu des formulaires de consentement à faire remplir par les parents des élèves. Ces formulaires devaient être retournés avant le jour où les élèves de l’école devaient compléter les sondages à l’école.

Pour en savoir plus

Quelles questions ont été posées?

Les enseignants et les élèves participant à l’ESMÉ 2014 ont répondu à des questions sur divers sujets, notamment sur l’environnement scolaire et sur les interactions avec les pairs et entre les élèves et les enseignants.

Pour en savoir plus

Les élèves se sont vus interrogés sur leurs sentiments et leurs comportements, ce qu’ils pensent de leur école et s’ils pensent que l’école les soutient, eux et leurs pairs. Les enseignants se sont vus interrogés sur leurs expériences avec les élèves présentant des troubles émotionnels et de comportement et s’ils pensent que l’école soutient la santé mentale des élèves. Les directeurs se sont vus interrogés sur leurs expériences avec les élèves présentant des troubles émotionnels et de comportement et dans quelle mesure ils pensent que l’école soutient la santé mentale des élèves.